Tendances, l’expertise du GEB
Un mensuel : des analyses, des données, des dossiers, un rendez-vous, un zoom, des historiques d’indices de référence…
Cours des JB déprimés malgré une offre limitée
Réagissez
Posez vos questions, exprimez vos remarques par rapport à la conjoncture des jeunes bovins. Baptiste synthétisera vos réactions et vous répondra le lundi 2 mars 2020.
Nos publications et travaux récents
Chiffres clés
DOSSIERS ANNUELS
•Dossier annuel Bovins viande – Année 2023 – Perspectives 2024 – DEE n°546 janvier 2024
•Dossier annuel Bovins lait – Année 2023 – Perspectives 2024 – DEE n°547 février 2024
•Dossier annuel Caprins – Année 2023 – Perspectives 2024 – DEE n°548 mars 2024
Chiffre du mois
3,63 €/kg de carcasse fin janvier
C’est la cotation du JB R allemand qui connait le démarrage annuel le plus bas depuis 10 ans.
Viandes bovines
Début d’année contrasté
Le marché européen de la viande de gros bovins reste globalement morose et les cours sont bas. Les prix des mâles sont à la baisse, même en Italie depuis peu. Si les prix des vaches de réforme continuent de s’effriter en France, ils se redressent néanmoins ailleurs en Europe.
Lait de vache
Anticyclone menacé
Début 2020, tous les signaux étaient au vert pour l’économie laitière. La collecte française s’est rétablie malgré un cheptel très réduit. La production européenne a retrouvé une croissance solide au second semestre 2019 qui devrait se prolonger en 2020.
Viande ovine
Cours de l’agneau français soutenu ce début d’année
Le cours de l’agneau français poursuit sa baisse saisonnière mais reste particulièrement élevé par rapport aux années précédentes. L’offre limitée sur le marché français, due à la fois à une production nationale peu dynamique et à de moindres importations, freine la baisse de la cotation française.
Lait de chèvre et viande
Hausse des prix du lait de chèvre
Le prix du lait de chèvre a connu une nouvelle progression au 4ème trimestre, sous l’effet de la hausse du prix de base et de l’amélioration de la composition. Il est resté élevé au regard des prix pratiqués aux Pays-Bas et en Espagne, même si cet écart s’est réduit. Malgré l’évolution du prix du lait, la hausse des charges en élevage a probablement rogné la marge des éleveurs caprins.