Particulièrement sec cette année, l’automne néozélandais (de mars à mai) a incité les éleveurs à commercialiser davantage d’ovins pour ajuster leur cheptel aux disponibilités fourragères. Les exportations néozélandaises de viande ovine plus abondantes ont ainsi abreuvé un marché chinois toujours demandeur.
Au sein de l’UE, les prix particulièrement élevés et le manque de disponibilités attirent aussi les viandes néozélandaises.