En France, la baisse des abattages permet le maintien d’une cotation historiquement élevée, face à une demande morose. En Irlande comme au Royaume-Uni, cette baisse de la demande encombre les marchés et pèse sur la cotation.
En Espagne, l’export d’ovins vifs, dynamique, permet d’alléger le marché et de maintenir, comme en France, la cotation de l’agneau au-dessus du niveau des années précédentes.